image_pdfimage_print
EnVie de jober ces vacances d’hiver ? Prépare-toi dès maintenant !

EnVie de jober ces vacances d’hiver ? Prépare-toi dès maintenant !

Job étudiant

Étudiant dans le secondaire ou dans le supérieur, les règles sont les mêmes : tu disposes de 475 heures de travail étudiant par an, que tu peux « dispatcher » à ta guise, tout au long de l’année scolaire et/ou pendant les périodes de vacances.

Si tu souhaites travailler pendant les vacances de Noël, tu peux dès à présent te pencher sur ton CV. Si tu n’en as jamais réalisé ou que tu souhaites le peaufiner, n’hésite pas à passer à notre permanence. Infor Jeunes est ouvert tous les jours, du lundi au vendredi, de 13 à 18 heures. Sache néanmoins que pour faire ton CV depuis le début, il te faudra être à la permanence située Chaussée de Louvain, 339 à 1030 Schaerbeek à 17h30 au plus tard.

En tant qu’étudiant, ce qui fonctionne le mieux est le « bouche-à-oreille ». Nous te conseillons de déposer ton CV dans tous les commerces et/ou entreprises qui t’intéressent près de chez toi et/ou près de ton école.

Nous t’encourageons également à t’inscrire à notre « Service job ». Cette inscription est gratuite. Pendant 4 mois, nous te contacterons si nous recevons une offre d’emploi susceptible de t’intéresser. Au bout de 4 mois, tu peux renouveler ton inscription bien qu’on espère que tu n’en auras pas besoin.

Dans tous les cas, que tu aies besoin d’une aide pour ton CV, une lettre de motivation, des astuces pour trouver rapidement un job, des informations sur la législation… nos informateurs sont à ta disposition.

Visionne également notre capsule vidéo sur le job étudiant en partenariat avec la Haute École Galilée.

Attention, du neuf concernant le job étudiant est cependant prévu en 2023, relis notre news à ce sujet.

Concours photos Instagram « C’est quoi être jeune et européen en 2022 ? » dans le cadre de l’année européenne de la jeunesse

Concours photos Instagram « C’est quoi être jeune et européen en 2022 ? » dans le cadre de l’année européenne de la jeunesse

Concours photos Année européenne jeunesse 2022

À l’occasion de l’Année européenne de la jeunesse 2022, le Service de la Jeunesse de la FW-B lance un concours photos sur le thème « c’est quoi être jeune et européen en 2022 ?

Les jeunes de 12 à 30 ans sont invités à partager une à trois photographie(s) sur le réseau social Instagram sur le thème « être jeune en Europe en 2022 » accompagné du #JeuneEnEurope2022.

Quels sont les défis auxquels les jeunes Européens font face aujourd’hui ? Quelles sont leurs opportunités ? Leurs attentes ? Leurs centres d’intérêt ? Leurs préoccupations ? Les valeurs qu’ils portent et l’avenir qu’ils imaginent ? Différentes thématiques que les candidats pourront aborder à l’aide de leur(s) photo(s).

Le concours aura lieu jusqu’au 9 septembre 2022 sur Instagram.

Lauréat et prix

Un jury composé de représentants des autorités organisatrices et de professionnels du secteur de la jeunesse sélectionnera les dix photographies les plus originales et créatives.

Les dix lauréats recevront un pass ferroviaire (Interrail ou Eurail 7 jours pour 33 pays) valable 11 mois à partir de la remise du prix et pourront ainsi découvrir l’Europe en train. 

Délais et conditions de participation

Jusqu’au 9 septembre, le ou les photographie(s) doive(nt) être :

Pour en savoir plus : règlement du concours

2022 sous le signe de la jeunesse

Il s’agit de l’ambition poursuivie par l’Union européenne en désignant l’année 2022, Année européenne de la jeunesse. Dans ce cadre, une multitude d’initiatives et d’événements sont menés aux niveaux européen, national, régional et local. 

L’objectif de cette Année européenne est de mettre en lumière l’importance pour la jeunesse européenne de construire un avenir meilleur : plus écologique, plus inclusif et plus numérique. Elle offre de nombreuses possibilités d’apprendre, de partager sa vision, de rencontrer d’autres personnes et de participer à des activités dans toute l’Europe. 

Quelques changements côté (cyber-)harcèlement et protection des données !

Quelques changements côté (cyber-)harcèlement et protection des données !

Cyberharcèlement et réseaux sociaux

Plusieurs nouveautés concernant les réseaux sociaux et le cyberharcèlement. Citons notamment : le plan de mobilisation pour lutter contre le harcèlement et le cyberharcèlement en milieu scolaire ; le premier procès d’assises par rapport aux comportements sur des réseaux sociaux ; le Digital Service Act & le Digital Market Act.

1° Premièrement, la ministre de l’Education, Caroline Désir, a lancé un plan de mobilisation pour lutter contre le harcèlement et le cyberharcèlement en milieu scolaire. Ce projet, qui débutera en septembre 2022, a pour objectif, dans un premier temps, d’outiller les écoles à l’aide de séances d’information et de sensibilisation sur les thèmes du (cyber-)harcèlement. Ensuite il sera question de coacher et d’accompagner certaines écoles dans cette lutte notamment via l’amélioration du climat scolaire. De plus, dans l’objectif d’avoir des chiffres plus précis concernant ces thématiques, un « Observatoire du climat scolaire » ouvrira prochainement. Pour plus d’info

2° Ensuite, il nous faut également parler du fait qu’un premier procès d’assises a eu lieu par rapport à des comportements ayant eu lieu sur des réseaux sociaux (menaces, incitations à la haine – soit des « délits de presse » en terme juridique). L’homme a été reconnu coupable par la cour d’assises et a été condamné. Il faut savoir qu’un procès d’assises est long à mettre en place et coûte cher. C’est pourquoi la modification de l’article 150 de la Constitution – relatif au délit de presse – est sur la table et ce, afin que ce genre de dossiers – discours de haine en ligne autre que racisme et xénophobie qui sont déjà jugé par le tribunal correctionnel – relève du correctionnel et non plus de la Cour d’assises. Et ce, afin d’accélérer la procédure pour la condamnation de ce type de comportements en ligne. Pour plus d’info.

3° Et enfin, last but not least, nous allons vous parler du « Digital Service Act » (DSA) et du « Digital Market Act » (DMA). Il s’agit de deux règlementations qui visent, entre autres, à « garantir un environnement en ligne sûr et responsable » et « à lutter contre les abus de position dominante des GAFAM ». Le 25 novembre 2021, les états membres de l’Union Européenne ont trouvé un accord concernant la proposition de la commission sur DSA et le DMA. En résumé, l’adoption de ces réglementations (prévue pour janvier 2023), qui ont pour objectif de « mieux protéger les consommateurs et leurs droits fondamentaux en ligne », de « ; mettre en place un cadre solide pour la transparence des plateformes en ligne et clair en ce qui concerne leur responsabilité », permettrait la mise en place, de la part de ces plateformes, de nouvelles règles visant à sanctionner notamment le cyberharcèlement (comme l’a déjà fait Facebook par exemple[1]). De plus, via l’obligation d’une domiciliation juridique en Europe de ces plateformes, les différents tribunaux européens seront plus à même de sanctionner les géants du net et de les contraindre à respecter la législation européenne (e.g. R.G.P.D.). Pour plus d’info


[1] https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/facebook-renforce-sa-lutte-contre-le-harcelement-en-ligne-1354831